Durant les années dominées par les Khmers Rouges, les Cambodgiens ont subi une très grande perte tant humaine que culturelle.
L'art, l'éducation, la culture en général ont été réduit à néant.
Professeurs, docteurs, écrivains, musiciens... ont été exterminés.
Au sortir du régime des Khmers Rouges, sur 200 écrivains, il n'en restait plus que 4.
Aujourd'hui, les Cambodgiens doivent tout reconstruire.
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La musique se transmettait oralement, la guerre et le génocide ont fait beaucoup de mal à la culture khmère.
Le "aye-aye" : Ce style pourrait s'apparenter à un ancêtre lointain du rap ou du slam... La comparaison vous paraît osée ? Écoutez un extrait...
Le "aye-aye" s'accompagne d'un ou de plusieurs instruments musicaux traditionnels, deux chanteurs (un homme et une femme) improvisent des joutes verbaux chantés. L'histoire décrit en général des situations comiques. Le "aye-aye" doit souvent faire rire.
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